Skip to main content

Je vais vous dévoiler tous les astuces pour comprendre et appréhender l’univers de la microdose. Entre une bonne journée bien dosée en énergie et créativité et une journée trop trippante qui va tourner à rien, il n’y à parfois que 5 microgrammes !

Avertissement : cet article n’est en aucun cas un incitant, une recommandation ou invitation. Ce que je vous partage ici est disponible à plein d’endroits sur le net, dans des livres que je vais d’ailleurs citer et je n’ai pas inventé ces choses. Je vais simplement vous partager les méthodes les plus courante pour microdoser comme un.e champion.ne 🤗

Prérequis #1 : Une bonne intention. Ce que je veux dire par là c’est : pourquoi tu fais veux faire ça? Il faut se poser cette question, même un tout petit peu. Est-ce que je cherche un mieux-être? Est-ce que je veux être plus productif au travail ou est-ce que je cherche à m’en échapper? Est-ce que c’est juste une expérience pour moi?
Il n’est pas question de jugement mais bien de d’intention consciente.

Prérequis #2 : Avoir déjà trippé avant. C’est une conception courante, je ne sais pas dire si c’est totalement vrai, elle émane de la théorie selon laquelle il faudrait déjà avoir ressenti l’intégralité des effets d’une substance afin de pouvoir en percevoir les effets subtils. Ca parait logique mais c’est tout, aucune science ne saura jamais prouver cela.

Prérequis #3 : Ne pas avoir de prérequis, vraiment! Par la j’entends qu’il ne faut pas avoir d’attentes spéciales pour cette expérience et juste laisser venir ce qui se présente. Ne pas tenter à tout prix de rendre la journée spéciale, elle le sera si elle doit l’être, quoi qu’il arrive.

La base : choisir sa substance

Entrons dans le vif du sujet, quoi prendre. Pour microdoser, il faut prendre un tout petit peu de quelque chose mais de quoi? Une drogue psychédélique. Celles qui s’y prêtent le plus et qui sont le plus souvent cités sont le diéthyllysergamide ou LSD et la Psilocybine des champignons hallucinogènes. Ces derniers étant des produits absolument naturels, leur concentration est imprévisible, certains seront bien plus forts et plus concentrés en composant actif que d’autres sans que l’on sache l’anticiper.

Je citerai aussi pour la bonne forme la 4-ACO-DMT, qui est « la version synthétique » des champignons magiques. J’ai mise des guillemets car c’est un abus de langage; une longue histoire! Cette molécule est, par nature, plus facilement quantifiable avec précision que son homologue organique, la psilocybine.

La prochaine étape, mes petits psychonautes en herbe ca va être de comprendre comment peser cela avec précision afin d’une part de pas vous retrouver juste tout défoncé dans des situation de la vie quotidienne et d’autre part de pouvoir conserver votre produit le temps de votre traitement expérimental.
Ensuite on parlera fréquence, effets, témoignages…

Je vais également aborder une question cruciale : la légalité !

Je suis le créateur de Joul.be !